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Groupe Patrimoine Vaud (GPV)
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Coordinateur
du groupe
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Olivier Jaermann , Rue des Jardins 6 - 1800 Vevey
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[
Contact ]
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[ Règlement ] |
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Le
Groupe Patrimoine Vaud (GPV) est un des groupes régionaux
de la Commission du patrimoine spéléologique et karstique
de la Société Suisse de Spéléologie (SSS).
Cette dernière a pour but de contribuer à protéger
le patrimoine spéléologique, c’est-à-dire
les cavités naturelles et leur contenu, mais aussi le milieu
karstique en général. Vu l'ampleur de la tâche cette
commission est soutenue professionnellement par le "secteur patrimoine" de l’ISSKA. |
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Le
GPV a été créé en 2001 avec quelques spéléologues
de différents clubs vaudois. Pour cette première année
d'existence, il a démarré ses activités autour
de la constitution d'un inventaire des cavités vaudoises polluées,
inventaire réalisé grâce aux archives des différents clubs. Cet inventaire a été par ailleurs établi dans le cadre d'un mandat attribué à
l'ISSKA par le Service des Eaux, Sols et Assainissement du canton
de Vaud (SESA). Cet inventaire, mis en forme par l'ISSKA, recense environ
150 cavités polluées. |
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En
2002, le GPV a concentré ses activités sur le second mandat
attribué à l'ISSKA par le SESA. On retiendra notamment
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1. Documentation et rédaction d’une vingtaine de dossiers de dépollution de cavités (cavités retenues par le SESA sur la base de l'inventaire réalisé en 2001). Cette documentation a nécessité la collecte d'informations sur le terrain, notamment la situation de la cavité et son accès, la nature et la quantité de déchets, les moyens à engager et le déroulement de la dépollution (personnes et machines, durée); la prise de photographies a complété cette documentation. |
2. Visite de nombreux sites pour un simple contrôle ou afin de permettre la mise à jour de
l’inventaire des cavités polluées établi en 2001. Plus d’une vingtaine de fiches de visite de
cavités sont venues compléter celles de l’année précédente. |
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3. Recensement d’autres sites karstiques, tel que des dolines, sujets à des pollutions
actuelles ou anciennes. Plusieurs nouveaux sites ont été signalés à l’ISSKA par des membres du GPV et ces informations sont venues enrichir l’inventaire existant. Des visites de contrôles se sont également avérées nécessaires pour vérifier des renseignements communiqués par quelques communes. |
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4. Première dépollution par le GPV à la Baume des Détritus (voir lien en bas de page). |
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5. Enfin, plusieurs cavités faiblement polluées ont été nettoyées à l’occasion des visites de contrôle au sein des clubs. |
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En
2003, le GPV a élaboré et adopté un règlement
interne. Sans constituer véritablement des statuts, l’idée
principale de cette démarche est de définir aussi clairement
et simplement que possible : qui est membre du GPV, comment se prennent
les décisions, comment circule l’information, comment sont
affectées les ressources du groupe et ce qui se passerait en
cas de la dissolution du GPV. |
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Quant aux activités, elles se sont principalement concentrées sur des actions de dépollution, actions qui ont bénéficiées de l'appui des communes concernées. |
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Après 2003, le GPV va se réunir plus ou moins régulièrement afin de définir les priorités et ceci sous la présidence de Christian Pauli (SCNV), puis de Cédric Imfeld (SCC). |
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Quant aux actions de dépollution, elles seront plus sporadiques, la dernière ayant été effectuée le 7 novembre 2009 à l'Abri de la Pisserette (Jura vaudois). Toutefois, en se basant toujours sur l'inventaire établi en 2001-2002, l'ISSKA va poursuivre avec assiduité l'assainissement de nombreux sites aussi bien dans le Jura que dans les Préalpes. |
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En décembre 2015, une convention est cette fois signée entre la Direction Générale de l'Environnement (DGE) de l'état de Vaud, l'ISSKA et le GPV afin de définir les collaborations entre les parties dans le domaine de la conservation du patrimoine spéléologique et karstique. |
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Au début de l'année 2016, et dans le cadre de cette convention, un nouveau règlement est adopté par le GPV et une liste de tâches est définie. Quant à la présidence du GPV, elle est désormais assumée par Olivier Jaermann (GSL). |
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Quelques actions
de dépollution
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